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L'inespérée
L'inespérée
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Derniers commentaires
24 juillet 2009

Regards...

Dernièrement je t'ai croisé à quelques reprises, dans le regard d'une jeune mère avec sa petite fille, à la Poste, dans le regard d'une jeune auxiliaire de la pharmacie, très jolie, très à mon goût, et dans le regard d'une jeune caissière de Carrefour, à qui j'ai glissé en partant un "Au revoir jolie demoiselle..." sans oser voir sa réaction.
En fait, comme je me balade avec un de mes chatons sur l'épaule, il y a toujours des demoiselles, des femmes ou des enfants qui craquent et viennent le caresser, ou qui nous observent avec étonnement. Cette habitude m'offre à chaque fois l'opportunité de partager un sourire, ou quelques mots, et ça me fait plaisir de vivre ces petits moments. C'est d'ailleurs ainsi que j'avais rencontré la dernière idiote qui a bien voulu de moi, il y a deux ans, dans une cave à jazz...

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Commentaires
G
Okay.<br /> Je dirais même plus "quand on touche le fond de la mare, on ne peut que donner un coup de pied dans le sable pour remonter en flèche"<br /> <br /> :D<br /> <br /> Bonne journée.
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L
Merci.<br /> Je sais qu'elle ne sera pas la réponse. Mais j'ai hâte que quelqu'une devienne mon problème.<br /> A moi comme à ton ami, je souhaite quelque chose qui fasse qu'on puisse s'oublier dans autre chose, qui nous relève, nous révèle.<br /> <br /> "Quand tu es dans la merde jusqu'au coup, surtout ne baisse pas la tête"<br /> <br /> :D
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G
J'espère que tu vivra, dans le sens de trouver du plaisir dans ce que tu fais. Je ne sais si une inespérée peut t'apporter cela, mais si c'est là ta réponse, alors...<br /> <br /> Enfin. J'ai un ami très proche qui vit un peu comme toi. Enfin, un peu comme tu le décris là. ça me rend triste, impuissante. C'est difficile, sûrement mille fois plus pour lui que pour moi qui le regarde sombrer. Mais bon.<br /> <br /> Sur ces joyeuses considérations, je te souhaite une très bonne soirée.<br /> <br /> Et vraiment, j'espère que pour toi ça prendra une autre tournure, par je ne sais quel déclic.<br /> <br /> A bientôt :)
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L
Disons que ma situation fait que je vis pleinement seul, et que donc, ne rencontrant personne et ne vivant pas dans la vraie vie extérieure, je vis pour moi, ce qui est pathétique, et je préfère romancer en disant que je ne vis pas, ce qui est assez proche de la réalité.<br /> Débarrassé des autres, n'embarrassant aucune autre, je suis quotidiennement embarrassé de moi-même.<br /> Mais il m'arrive aussi de vivre pour d'autres choses que cette femme qui n'existe pas encore, je te rassure. D'autres choses sans aucune espèce d'importance. D'autres choses qui finissent par ne plus me motiver, alors qu'avant elles m'étaient vitales : écrire, composer, musiquer, dessiner, photographier, lire...<br /> Disons que cette absence me mets entre parenthèses, et que je n'arrive pas à aller au-delà de ces cloisons virtuelles. Les mêmes cloisons que dans mon agoraphobie sans doute. Des cloisons dans lesquelles je vis pleinement la mélancolie qui m'est naturelle, et la solitude qui m'effraie tant.<br /> Bref... :)
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G
Jolie chanson ^^<br /> Je te le dis ici parce que... Parce que. :D<br /> <br /> Une question à te poser : même en sachant cette absence, pourquoi ne vivrais tu donc pas ? Je n'ai pas compris la transition entre "je vis pour ça, donc je ne vis pas". On vit tous pour quelque chose, même si au final c'est toujours pour soi, aussi tourné qu'on soit vers les autres, vers une/un autre qui existe physiquement ou pas ^^<br /> <br /> Euh... Je suis jamais d'accord.<br /> Tu dis, hein, si je t'embête. Je me tairais ^^
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